iOS 6 les nouveautés non supportées par les anciens iPhone ou iPad

Lors de la WWDC et la présentation d’iOS 6, Apple a exprimé son souhait de proposer son nouvel OS sur un maximum de terminaux mobiles. Pour autant, certains comme l’iPhone 4, l’iPad 2 seront privés de certaines possibilités comme Siri ou FaceTime en 3G …

Nous vous l’avions indiqué lors du CNET live consacré à la WWDC, l’iPhone 3GS disposera bien d’iOS 6 tandis que l’iPad premier du nom qui adopte pourtant des spécificités matérielles plus poussées (Samsung S5PC100 de 800 MHz, 256 Mo de RAM contre un Apple A4 à 1Ghz et 256 Mo ) en sera privé.

Il faut voir ici une volonté stratégique de la part d’Apple, l’iPhone 3GS constituant le ticket d’entrée sur la gamme smartphone. Et comme nous le pressentions, l’iPhone 3GS ne disposera pas de toutes les nouveautés. En revanche, ce qu’Apple n’a pas clairement dit c’est que les autres terminaux plus récents seront eux aussi privés de certaines nouveautés.

iPhone 3GS, 4 et iPad 2, de l’obsolescence programmée ?
Nos confrères de Macrumors ont bien résumé le support variable d’iOS 6 selon les terminaux mobiles. L’iPhone 3GS et iPhone 4 seront privé de Siri, de la navigation GPS tout par tour ou du mode Flyover permettant d’observer les cartes 3D.

Pour le 3GS et les iPod Touch 4G, dites bye-bye au partage de photo avec une sélection de correspondants, tout comme la liste de lecture d’onglet dans Safari en mode hors ligne. Idem pour la fonction VIP Mail qui permet de personnaliser les notifications en filtrant les mails de certains contacts.

Une obsolescence programmée pour Apple, car si le 3GS n’est plus un foudre de guerre, ces fonctionnalités ne sont pas vraiment gourmandes en ressources…
Pour l’iPad 2, s’il profite pleinement du nouveau Plans avec la navigation et Flyover, il sera privé de Siri et FaceTime en 3G.




Via Macrumors.com

Données privées certaines applications mobiles agissent comme des spyware

Selon une enquête du Wall Street Journal, la moitié des applications mobiles pour Android et iOS envoient des informations personnelles et confidentielles à des régies publicitaires. Sans prévenir les utilisateurs…

Le Wall Street Journal vient de confirmer un secret de polichinelle inquiétant : certaines applications espionnent leurs utilisateurs, et récupèrent des données personnelles. Pour sa démonstration, le journal américain a ainsi étudié 101 applications populaires proposées sur smartphones, la moitié sur iOS, l'autre moitié sur Android.

Résultat : 56 d'entre elles communiquent l'identifiant unique du téléphone à des régies publicitaires, 47 donnent la localisation de l'utilisateur alors que 5 transmettent en plus son âge et son sexe. Sans jamais avertir le consommateur bien entendu.

Cela représente un gros marché. Pour les créateurs d'applications, d'abord, qui vendent ces informations. Pour les sociétés de publicité ensuite qui peuvent ainsi cibler leurs annonces et accroître leur chiffre d’affaires. La publicité ciblée sur la localisation rapporterait ainsi deux à cinq fois plus qu'une publicité classique !

Le problème, c'est que ce "commerce" se fait dans l'ombre, et sans le consentement de l'utilisateur. Alors qu'il est facile, sur un ordinateur classique, de faire la chasse aux spywares, de supprimer cookies et autres traces de navigation, cela se révèle impossible sur les différents smartphones du marché.

Les utilisateurs ne peuvent donc pas protéger leurs données privées, d'autant que la plupart des applications étudiées ne disposent pas de règles de confidentialité. Certains constructeurs estiment pourtant qu'il n'y a pas de problème, car les données sont transmises de façon anonyme et ne sont pas directement liées à un nom...

Argument assez faible, d'autant que certaines régies publicitaires (notamment Millennial Media, qui travaille entre autre avec l'application Android de MySpace) auraient accès à pas moins de 11 types d'informations différentes, dont l'origine ethnique, les revenus, l'orientation sexuelle et les opinions politiques. (EP)

Pratique : les tutoriels pour gérer ses applications avec l'iPhone et les tutoriels pour Android

RIM sacrifierait la PlayBook 10 pouces au profit d'un Superphone

Le fabricant des Blackberry aurait décidé de stopper le développement de la version 10 pouces de sa tablette PlayBook pour se focaliser sur celui d’un « Superphone » avec écran 4.3 pouces HD et l’OS QNX.

La nouvelle est à prendre avec des pincettes et vient du site n4bb.com. RIM aurait décidé de stopper les développements autour d’une version 10 pouces de sa tablette PlayBook pour se recentrer sur un smartphone haut de gamme, un « Superphone », animé par l’OS QNX. Ce smartphone embarquerait une puce simple cœur cadencée à 1,2 GHz (la même que dans le Blackberry Bold 9900) et un écran HD 4,3 pouces. RIM pourrait aussi opter pour une puce double cœur pour ce mobile mais des soucis de batterie et une autonomie réduite l’en auraient dissuadé.

Si ce choix peut sembler bizarre et l’impossibilité de travailler sur deux projets majeurs en même temps incongrue pour une firme comme RIM, cela s’explique peut-être par les résultats décevants du canadien au premier trimestre 2011 et la volonté de ses dirigeants de restructurer en profondeur la société.

Toujours selon n4bb, RIM travaillerait aussi actuellement sur une version LTE (4G) de son actuelle PlayBook dont la sortie pourrait intervenir en octobre. (EP)

gPhone, l’Arlésienne selon Google

Fruit de toutes les rumeurs, le gPhone, probable mobile de Google, serait développé pour générer de nouveaux revenus et non pour concurrencer l’iPhone d’Apple. Explications.

Tout le monde en parle mais personne ne l’a vu, ni même entrevu… Pourtant, le gPhone, le mobile que serait en train de développer Google, est l’objet de nouvelles spéculations. Son développement aurait simplement pour objectif de générer des revenus très lucratifs pour le géant du web, et non pour but de concurrencer l’iPhone d’Apple, comme l’affirmaient récemment de nombreux sites d’informations en ligne !

Relayée entre autre par le Wall Street Journal ou les Echos, cette dernière rumeur se base sur les dires d’Eric Schmidt, le patron de Google, lors de la « D : All Things Digital conference » qui s'est tenue à Los Angeles en mai dernier ! Le boss de la firme de Mountain View (Californie) expliquait, alors, que « la publicité dans la téléphonie mobile est au moins deux fois plus rentables que celle de la téléphonie fixe, car elle pouvait être personnalisée ».

Alors le gPhone, il existe ou non ? Aujourd’hui, Google fait le black-out sur le sujet et personne ne peut affirmer avoir vu une ébauche du gPhone.

Pourtant, le secteur de la téléphonie mobile intéresse le géant de l’Internet. Il devrait, en effet, participer à la mise aux enchères par les autorités américaines, début 2008, d’une large plage de fréquences hertziennes. De quoi déployer un réseau de communications sans fil ainsi que le téléphone mobile qui va avec….

Windows Live Messenger disponible pour Windows Phone 7

L’application, qui n’a pas été développée par Microsoft, est disponible sur le Marketplace et reprend les principales fonctions du service de messagerie instantanée, Windows Live Messenger.

Microsoft a annoncé hier l’arrivée de Windows Live Messenger pour Windows Phone 7. La firme Redmond n’a pas développé cette application elle-même et en a confié la tâche à Miyowa. On retrouve une version simplifiée mas fidèle de Windows Live Messenger. L’utilisateur peut mettre à jour son statut avec un message d’humeur et piocher dans un menu d’émoticônes pour enrichir ses échanges.

 

Il peut ajouter de nouveaux contacts, voir quels sont les interlocuteurs en ligne, mener des conversations individuelles ou réunir plusieurs participants. À noter que Windows Phone 7 récupère automatiquement le répertoire de Windows Live Messenger et l’intègre dans les contacts. L’application est téléchargeable gratuitement sur Marketplace. (EP)

Comparez les smartphones Windows Phone 7

Google I O Live 2011 suivez le direct de la conférence US de Google

La conférence de Google ouvre ses portes ce mardi 10 mai à 18 h, heure française. Une édition 2011 du Google I/O qui devrait être marquée par la présentation de Google Music, une nouvelle version d’Android, une tablette Nexus T voire un netbook sous Chrome OS signé Samsung. Résumé des annonces probables…

La Google IO de 2010 avait marqué les amateurs du budgroid avec la présentation d’Android 2.2 ( Froyo), la beta du plug-in Flash 10.1 d’Adobe, l’annonce de la Google TV et le line up impressionnant de terminaux animés par Android.

Un line up et un fort partenariat avec les constructeurs qui a participé au succès du système d’exploitation mobile de Google. En situation de force sur le terrain du smartphone, Google devrait donc profiter de sa conférence pour annoncer quelques nouveautés.

Google Music
Attendu depuis un moment, il semble acquis que Google présentera à 18 h son service de streaming gratuit. En l’absence d’accord avec les majors,  ce service ne permettrait dans un premier temps que d’héberger jusqu’à 20 000 titres dans les airs pour chaque utilisateur.

Il serait ainsi possible d’accéder en streaming à ces titres musicaux depuis n’importe quel terminal Android voire directement via une page Web.
Les Américains seraient les premiers à bénéficier de ce service…

Une nouvelle version d’Android ?
Autre annonce fort probable, une nouvelle version d’Android. Les rumeurs évoquent une mise à jour dédiée uniquement aux tablettes et venant remplacer Honeycomb.

D’autres sources croient savoir qu’il s’agirait plutôt d’une version d’Android baptisée Ice Cream Sandwich utilisable sur smartphone et tablette permettant ainsi de profiter des possibilités d’Honeycomb sur un androphone…

Un netbook Samsung sous Chrome OS, une tablette Nexus T ?

La marque coréenne pourrait profiter de l’événement de Google pour présenter un netbook animé par Chrome OS. De même, certains parlent d’une tablette type Nexus . L’arrivée d’une tablette griffée Google semble assez probable si l’on suit la stratégie de Google, pour autant, son annonce pourrait être prématurée.

Suivre le live chez nos confrères de CNet.com

Voir le live sur la page Google IO